Nos meilleurs amis (Description)

Harry Potter ? Ce garçon qui nous a tous sauvé ? Cet Harry là ? Hey bien... Mesdames et messieurs désolé de vous annoncez que notre cher Harry a sûrement rendu sa cape de super sorcier. Notre cher pote Potter a beau toujours être dans l'ordre du Phénix. Il n’est plus vraiment sur le devant de la scène, tant mieux pour lui. Il peut ainsi élever sa famille à l'ombre du show business.

Ah oui ce n’est pas parce que l'homme à la cicatrice a arrêté de sauver le monde que les super-vilains se sont arrêté en même temps ! Nan j'dirais même qu'ils ont tendance à revenir en force en ce moment. D'abord y'a eu les mangemorts. Et ouiiiiii Voldychou est revenu. Pas pour longtemps certes. Il aura duré qu'un an avant de repartir goutter à l'enfer grâce à l'épée de notre cher nouveau ministre Mr O'Bryan. Mais les mangemorts ne sont pas mort. Oh non... D'après les on-dit, c'est une femme qui a repris le flambeau. Assez jeune qui plus est. Mais doué. Enfin, tout ça pour vous dire qu'il ne faut pas négliger ces chers hommes et femmes au service du mal puisqu'ils sont toujours là et prêt à frapper n'importe quand, n'importe où et n'importe qui.

Mais les mangemorts ne sont pas la seule menace. Les ombres. Ce groupe quasi-inconnu, sévit de plus en plus. Leur leader Kamiraz Peverell. Et oui, Peverell. L'un des descendants des trois frères. Bref, leur leader étant revenu il y a peu, nos ombres préférés reprennent du service ! Au grand dam du ministère et de l'ordre du Phénix.

Ordre... Vite dis. Je dirais plutôt bordel du Phénix. Un tel veut être leader, un autre va le contrer. Ça manque de se taper dessus. Et pour finir, l'ordre reste sans leader. Mais sous ce désordre apparent il n'en reste pas moins assez dangereux. Aller au front ne leur fait pas peur. Comme avant, s'il y a danger on peut compter sur eux. L'ordre restera l'ordre et le Phénix renaîtra de ces cendres.

Et Poudlard ? Bien notre école bien aimée a ... Comment dire. Beaucoup changer ? Ouais on va dire ça. Tous les professeurs d'abord ont changé. Ainsi que le directeur qui ne semble pas capable de garder un prof' plus de quelque mois sans que celui-ci ne parte exaspéré ou dégoûté. Mais bon, ce n'est pas grave le plus souvent ils sont remplacer et vite. Mais ce qui est le plus hallucinant c'est que les élèves prennent de plus en plus de libertés. Les cours sont souvent délaissés au profit des loisirs pour certains. Bien qu'une infime minorité soit concernée cela reste pas mal étonnant. Dans nos vieux temps, jamais Poudlard n'aurait pu avoir d'élèves aussi peu enthousiaste à l'idée de faire de la magie. Aussi des groupes se forment... Non je ne parle pas de Bavboules ou des échecs. Je parle des Salazards et des Godrics. Quatre serpentards pour le premier, quatre gryffondors pour l'autre. Les premiers aiment faire régner la terreur, les seconds aiment casser les plans des premiers. Ils se détestent et les relations entre les membres de ces deux 'groupes' sont souvent houleuses et tournent parfois au massacre. Alalala... Poudlard a bien changé mes amis. Et pas qu'en bien ! =P



Mais... Dites-moi... Qui êtes-vous ? Je ne vous connais pas. Ah ! Nouveau ici je comprend..
Mais alors qu'est ce que vous attendez ! Allez hop hop hop faites avancer tout ça !
J'ai besoin d'écrire de nouvelles histoires moi !
Allez rouler jeunesse
!

Nous sommes à présent en 2002. Renesmée, âgée en réalité de trois ans, en paraît dix-sept. Les Cullen sont finalement restés à Forks, Bella ne souhaitant pas se séparer de Charlie. De plus, Jacob n’a aucune envie de quitter Billy et il peut difficilement rester une journée sans voir la benjamine de la famille Cullen, et l’enfant ne souhaite pas non plus le quitter.

Tous vivent heureux, entre vampires, loups, et humains auxquels ils tiennent. Mais de nouveaux événements ont lieu, même s’ils ne sont pas encore au courant. Le Chef Swan vient en effet d’accueillir une jeune fille de 26 ans, Sixtine Weber, qui vient d’être mutée dans son service. Mais ce que tous ignorent, c’est qu’elle occupe ses loisirs à chasser les vampires, et qu’elle n’est pas là par hasard.

Or, les Volturi eux, ont eu vent de l’existence de cette chasseuse un peu particulière et ont envoyé leur redoutable traqueur, Demetri, sur sa piste. Il se trouve lui aussi à Forks, ignorant encore qu’il va tomber amoureux d’Angela, humaine cousine de Sixtine et amie de Bella.

Pendant ce temps, Alice et Jasper ont assisté à un accident de voiture dans la forêt, à proximité de la ville. Le conducteur et son épouse sont décédés, mais leur fille, Anna, assise à l’arrière, a survécu. Alice souhaitant en enfant décide de la sauver, à sa façon, et la mord. C’est ainsi qu’une nouvelle-née, qui se choisira le prénom de Jalys, arrive dans la famille… Une nouvelle arrivée qui va remettre en cause le traité établi avec les Quileutes. Aucun vampire ne devant mordre sur ces terres. Une guerre éclatera t-elle et les Cullens seront ils à nouveaux obligés de quitter les lieux?
Seul espoir, qu'un loup s'imprègne de la nouvelle Cullen... A suivre.

Mains d'autres surprises attendent en effet les habitants de la petite ville de Forks. En effet, les lycans et les hybrides vont y faire leur apparition. Certains par pure curiosité, d'autres par farouches haine pour les vampires.
Qui sortira vainqueur de cette bataille?
Il vous faudra choisir votre camp mais l'histoire est à vous!

«Toute propagande efficace doit se limiter à des points forts peu nombreux et les faire valoir à coups de formules stéréotypées aussi longtemps qu'il le faudra, pour que le dernier des auditeurs soit à même de saisir l'idée. [...] Si vous désirez la sympathie des masses, vous devez leur dire les choses les plus stupides et les plus crues. »
- Adolf Hitler, Mein Kampf, 1925.


Chaque pion doit être placé sur l'échiquier...


La montée des dictatures se fit rapidement. À l'ère des communications virtuelles, la propagande devint la façon d'attiser les foules, la principale voie d'accès au pouvoir. Nous vîmes bientôt poindre à l'horizon de nombreux démagogues, venus des quatre coins du globe, pour nous donner de quoi étancher notre soif de changement et de révolution. Les valeurs de la société traditionnelles s'étant éteintes avec la mondialisation des échanges, des cultures et des idéologies, les mouvements révolutionnaires devinrent la conformité, alors qu'ils avaient toujours été marginalisés. Les partis de gauche triomphèrent dans presque chaque pays, les ventes de Mein Kampf, du Manifeste du parti communiste, du Prince, atteignirent des sommets inégalés et les foules tombèrent peu à peu dans les idéologies préconisées par les grands révolutionnaires de jadis. Adolf Hitler devint un martyr, Lénine fut cannonisé, Marx, intronisé au panthéon des génies universels, un prix Nobel fut même créé en son honneur. En Amérique, en Europe, en Asie, on entendait crier les masses, se soulever les foules, se prononcer des discours annonciateurs de changement. De nouveaux penseurs émergèrent, favorisant de plus en plus les idées eugéniques si prisées par les nazis de la Seconde Guerre mondiale. Après tout, toutes les conditions étaient déjà favorables à cette implantation massive d'eugénisme, d'idéologies radicales, de mouvements extrêmistes : on avait vu depuis le début du vingt et unième millénaire monter les religions extrêmistes, se multiplier les gestes contre l'humanité ; on avait assisté à l'avènement de la science rendant maintenant possible la fécondation in vitro, le choix des caractéristiques physiques et cognitives d'un enfant à naître, la popularité grandissante des tests servant à déceler les anomalies chez les embryons. On étaient parvenus à une ère où les gens dits anormaux n'avaient plus leur place, ou du moins, on effectuait un eugénisme camouflé en décidant de ne pas mener à terme une grossesse de laquelle résulterait un enfant malformé ou déficient. Loin était le temps où les idées conservatrices de la génération précédente avaient une longueur d'avance sur les théories plus révolutionnaires. Je tiens à préciser que je n'ai rien contre les idéologies de gauche, celles-ci ont d'ailleurs été au centre de ma vie. Les révolutions sont destinées à liberer des peuples entravés, à couper les chaînes mises injustement, à rendre aux masses le pouvoir selon des prémisses universelles déjà établies. Longtemps j'ai eu foi en la Révolution française tout autant qu'en la Révolution russe de 1917. Longtemps j'ai approuvé les idées de Marx, de Lénine, d'Hegel. Je les approuve toujours. Mais ce qu'ils ont fait du pouvoir me répugne au plus haut point. Je me lève chaque matin avec un goût amer dans la bouche, des soubresauts qui agitent mon corps, une irréprescible envie de vomir.

Le changement s'est fait rapidement, mais de façon très subtile, contournée. On pensa à tout en prenant bien soin d'éviter de répéter les erreurs du passé : l'empressement à la révolution ayant conduit Lénine à s'exiler, la propension étourdie au pangermanisme d'Hitler. On étudia avec attention les livres d'histoire, les manifestes politiques, les idées de Machiavel. On oublia rien, on améliora tout. Le système mis en place était inoxydable et impossible à perçer. Les coups d'État pour renverser le pouvoir seraient avortés avant même que les instiguateurs y ait pensé. Dans chaque pays, le Parti radicaliste étendit ses ailes jusqu'à obtenir la majorité partout. Lentement, mais surement, il étendait ses tentacules sur la planète entière. Deux ans suffirent à instaurer un régime despotique. Sous la direction de la Chancelière, une nouvelle doctrine politique se mis en place, calquée sur le régime nazi, fasciste et communiste. On l'apella : Régime Inquisitorial. On promit aux citoyens de la Terre : sécurité, égalité, structure. On donna au peuple : répression, propagande et lois draconniennes. Dans un monde où les terroristes étaient l'ennemi public, où les attentats, menaces de guerres, ultimatums, génocides abondaient, toutes les conditions furent réunies pour instaurer un réel régime despotique. On ne se douta de rien, on accepta les mesures par souci de sécurité physique, idéologique et culturelle. On promit la fin de la famine, la fin des guerres, un régime humaniste. Certains furent plus rapides que d'autres à déchanter. Alors que l'idéologie inquisitoriale battait son plein, qu'on s'inclinait devant des portraits de la Chancelière au lieu de s'incliner devant un prêtre, une poignée de gens organisèrent la résistance. Victimes de répression, ils furent bien rapidement obligés de se rencontrer clandestinement, de se cacher dans l'obscurité, de fuir la police (nouvellement nommée la Brigade Insquisitoriale ou, dans le langage populaire, les Nettoyeurs). Devant la menace de plus en plus grande d'un soulèvement, on procéda à l'implantation de puces destinées à bloquer les neurotransmetteurs responsables de l'adrénaline. Celles-ci ne faisaient pas qu'enlever les idées rebelles, elles rendaient les gens incapables de la moindre émotion rageuse tout en transmettant les moindres idées, moindres pensées et moindres rêves dans la banque de données du gouvernement. La liberté d'expression, depuis longtemps abolie, fut rejointe par l'interdiction de la liberté de pensée. Difficile à duper, la Cellule réussit à trouver un moyen de retirer la puce, installée à la base de la nuque. les membres furent rapidement forcés de recruter de force de nouveaux membres et d'opérer clandestinement, craignant à chaque moment d'être repérés par les Nettoyeurs et de finir exécutés sur la place publique.

Je viens de terminer la lecture d'un livre que j'ai trouvé dans une maison abandonnée : 1984 de George Orwell. Un livre depuis longtemps mis à l'Index (de nouveau en service). Ma puce gise dans une flaque de sang sur ma table de chevet, mes mains se sont crispées sur la reliure de cuir patiné par le temps. J'ai décidé d'écrire pour vous aviser de ce qui est arrivé au cours des trois dernières années. Je suis consciente que les livres d'histoire vous montrent une réalité tout autre, mais sachez que vous êtes dans l'erreur. Réveillez-vous de votre torpeur, je vous prie, et rejoignez-moi... Je me nomme Kaye Ana Farrell et je suis libre.

Quand on vous dit Amérique, à quoi pensez-vous? New-York, Grosse Pomme, Hollywood, Films hors de prix, Los Angeles, Plages californiennes, Surf et j’en passe des meilleurs, mais, quand on dit Amérique, on pense également au mot FOOTBALL! Ce jeu considéré comme un jeu de brute par les européens mais vénéré de tous bon américain qui se respecte.

Mais intéressons nous plus particulièrement à la petite ville de Dillon, cette petite bourgade du Texas, pas très grande. Tous les habitants se connaissent sur le bout des doigts, « ragots et cancans » sont les discussions des voisins le dimanche midi devant la barbecue après la messe. Mais si il y a bien un jour dans la semaine qu’il faut retenir c’est: Vendredi! En effet, tous les vendredis soirs, chaque habitant de la petite ville a les yeux rivés sur les joueurs de l’équipe du lycée les Panthers de Dillon.

Les Panthers ne sont pas seulement une équipe de lycée comme le sont les clubs d’échecs ou de lecture, non, loin de là! Les Panthers sont LA POPULARITE de la ville, tous les joueurs sont vénérés comme des Dieux, tous les parents sont fiers de voir leurs fils aller jouer le vendredi soir en espérant ainsi qu’ils se fassent remarquer par un agent et pourquoi pas faire d’eux des joueurs professionnels? Toutes les filles rêvent de sortir avec les joueurs, devenir populaire grâce à eux, et ainsi sortir avec LA mascotte de la ville, les Panthers ne sont pas seulement des adolescents comme les autres, ils sont de véritables icônes dans la ville et ils se savent bien!

A Dillon, football ne rime pas avec simple jeu ou passe-temps! A Dillon, le football c’est sacré.

Une fillette s'éveille, tout doucement. Elle sent la présence d'un autre être près d'elle. Elle ouvre ses petits yeux sombres et sourit faiblement au visiteur. Lui, il ne comprend pas ce qu'il fait ici, dans cette pièce un peu rustique et à la chaleur étouffante, ni pourquoi la gamine le dévisage de cette manière.
<< Bienvenue au château d'Ingary, déblatère-t-elle de sa voix douce d'enfant.
Lui, il ne dit rien,il se contente de la regarder bizarrement. Parfois, ses yeux se posent autour de lui, analysent la scène et n'en retiennent pas grand chose. La petite fille de lève de son fauteuil et s'assoie devant l'âtre de la cheminée.
- Je suis Ossyane, et je suis chargée d'accueillir les nouveaux résidents.
- Comment suis-je arrivé ici ?
- Oh, c'est très simple, vous avez fui. Vous avez voulu partir de l'endroit où vous vous teniez il y a quelques instants, vous avez donc ouvert une porte, celle d'un placard pour peut-être vous y cacher ou alors c'était celle de votre appartement car vous en aviez assez de voir votre femme, je n'en rien. Bref, vous aviez le désir intense de partir, et c'est ici que vous avez atterri.
- Mais c'est où ici ? Et pourquoi là, pourquoi pas un placard à balais minable ?
- Ici, c'est partout et nulle part à la foi, car nous bougeons sans cesse. Le château est mouvant, et il ne s'arrête qu'une fois par mois dans une destination aléatoire, sur Terre évidement. Si vous ne me croyez pas, regardez donc par la fenêtre. Le moment où le château s'arrêtera, il restera sur place pour vingt-quatre heures, ni plus ni moins, et vous aurez le choix. Le choix de partir et ne plus revenir, ou celui de rester. Vous pourrez bien entendu sortir vous balader et revenir ensuite, vous êtes libre de vos faits et gestes. Et, pour répondre à votre seconde question, je dois dire que je ne sais pas. ce château appartenait auparavant à une sorcière - qui lui a d'ailleurs donné son nom - et c'était déjà ainsi de son temps.
- Mais alors, je suis coincé ici avec une gamine étrange ? demanda d'une voix blanche le visiteur, plus pour lui-même que pour Ossyane.
- Je le crains. Mais ne vous inquiétez pas, il y a tout le confort nécessaire pour mener une vie confortable. Au fait, c'est moi qui vous fait vivre et bouger le château, donc ne me dérangez pas trop, je vous prie. >>
Elle entra dans la cheminée et se coucha au fond de l'âtre avec un sourire de bienheureuse.